I just ran away (gabriella)

Ce matin mon réveil sonna à cinq heures. Je me levai avec difficulté surtout que la veille j'avais travaillé mon cours de psychologie très tard dans la nuit. Je soupirai à l'idée de devoir me lever, heureusement que mon chat « eucalyptus » est venu me voir afin de me faire des câlins. Après cela je quittai mon lit afin de me rendre sous la douche. Une fois propre et sec, je m'habillai d'un jean slim et d'un tee-shirt beige. J’enfilai une paire de chaussure compenser tout en me rendant compte qu'il était déjà cinq heures et demie. Je me servis un verre de jus d'orange et je pris mes clefs de voiture ainsi que mon sac à main. Je partis par la suite, afin de ne pas arriver en retard au travail. Au bout de quinze minutes de trajet, j’arrivai enfin au royale café. Aujourd'hui, je faisais l'ouverture du café. Je dois avouer que je n'avais pas vu la matinée passer. Mon patron me rappela qu'il était treize heures trente passer et que j'allais arriver en retard en cours. Heureusement pour moi que j'ai un patron génial. Sur la route de l'université je grignotai un sandwich. À quatorze heures pile, j’arrivai enfin à l’amphithéâtre. Et me revoilà partie pour trois heures de cours, bien que j'adore ma filière de psychologie, le cour me parut une éternité. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Tad, mon meilleur ami. Je ne lavais pas vu depuis deux semaines lors de la soirée où l'on c'était embrasser. Je lui en voulais énormément d’être partie comme un lâche. Et surtout de m'éviter comme il l'a fait ses dernières semaines. J’avais beau lui envoyer des SMS, il ne m'avait jamais répondu. Cela me décevait de sa part, car il est l'homme en qui j'ai le plus confiance. Le seule en qui je pourrais faire n'importe quoi. D'ailleurs, depuis se baiser quelque chose d'étrange c'était passer en moi, jamais je n’aurais cru ressentir cela. Enfin, une fois mon cours fini je décidai d'aller le voir. Il fallait vraiment que l'on parle, que l'ont mette les choses aux claires. Tad me manquait, bien plus que je ne pouvais l’imaginer. Une fois sortie de l'université, je me dirigeai vers ma voiture, j’aperçus au loin Tad. Je fus soulager de voir qu'il avait fini les cours. Et le connaissant, je savais qu’il allait rentrer chez lui directement. Enfin, par la suite, je me dirigeai vers notre immeuble. Et oui on vivait dans le même immeuble mais pas au même étage. J'allais d'abord dans mon appartement afin d'y déposait mes cours et donnait à manger à mon chat. Après cela, j'allais voir Tad, je me dirigeai vers sa porte. Je soufflai puis au bout de quelques minutes je toquai. Il m'ouvrit peu de temps après, il avait l'air gêné de me voir. Puis il me fit rentrer dans son appartement. Je lui souris tout en passant ma main dans mes cheveux. Puis je lui dis par la suite.

Salut. Je ne te dérange pas ?

Je me trouvais là, face à lui. Face à mon meilleur ami, l'homme en qui j'ai le plus confiance et à qui je donnerais ma vie. Mais il semblait gêner, qui aurait cru que cela arriverait un jour. Jamais je n’aurais pensé que l'on s’embrasserait un jour. Çà non, au contraire, il est tout pour moi, mon frère, mon confident, mon protecteur, mon meilleur ami, tout. Et j'ai était encore plus déçu de sa part, du fait qu'il m'est ignoré durant deux semaines. Ça m'avait brisé le cœur. Habituellement, on est ensemble pratiquement vingt quatre heures sur vingt quatre. On est comme de vrais jumeaux. Enfin je me trouvais en fasse de lui, dans son appartement et il ne pouvait pas se défiler. Je voulais avoir des explications. Je fis un sourire quand il me dit que je ne le déranger pas. Il me proposa par la suite à boire. Je lui répondis tout en allant m’asseoir sur son canapé.

Oui, je veux bien un verre de jus d'orange stp.

Puis je me rendis vite compte qu'il essayer de détourner la conversation. Je soupirai tout en répondant à sa question. Il n'avait rien trouvé de mieux, à me demander si j’avais passé une bonne journée. À croire qu'il m’avait pas évité durant ses deux semaines. J’essayai de garder mon calme car je déteste me fâcher avec lui. Puis je lui répondis, tout en essayant de croiser son regard.

Tiens-tu me demandes enfin si j'ai passé une bonne journée, alors que sa fait deux semaines où tu m'ignores.

Comme vous l'avez compris Tad m'avait énormément déçu. Jamais je n’aurais pensé qu'il aurait pu réagir comme cela. Surtout envers moi, on c'était toujours promis d’être honnête l'un envers l’autre. J'étais assise sur son canapé et je le regardais nous servir un verre de jus d’orange. Puis il vient s'asseoir à côté de moi. Je dois avouer que sa présence m'avait terriblement manqué. Sa voix et son parfum aussi. J’avais l'impression d’avoir une tornade dans ma tête. Je me posais des milliers de questions. Je tournai ma tête vers lui tout en écoutant, ce qu'il avait à dire pour sa défense. Cela me fit moyennement sourire quand il me dit qu'il ne voulait pas éviter mais qu'il ne savait pas quoi faire d'autre. J’aurais tellement voulu qu'il me rappelle, qui me parle. Savoir pourquoi, il avait fui, après tout j’étais sa meilleure amie. Je bois une gorger avant même que je lui réponde, il réessaya de détourner la conversation en me disant tout sourire que je n'avais pas répondu à sa question. Je croisai son regard tout en me tournant vers lui.

Je n'ai pas arrêté de la journée entre le travailler au café et les cours.

Je remis une mèche de cheveux derrière mon oreille, et je pris mon courage à deux mains. Je soufflai un bon coup et je finis par lui demander en espérant qu'il soit honnête.

Dis-moi, pourquoi tu tu es enfouis ? Tu as eu honte ?

Je regardais autour de moi, l’appartement de Tad n’avait pas changé depuis la dernière fois que j'étais venue. Je dois avouer que venir ici m’avait manqué. Ses deux semaines furent une éternité pour moi, surtout que Tad m’ignorait. Ne pas lui parler fut un vrai calvaire. Enfin, maintenant que ont allées mettre les choses aux claires tout aller rentrer dans l'ordre. Enfin je l’espérais, que ce baiser n'allait pas tout gâcher. Je dois avouer que j'avais bien aimé. Mais je ne voulais pas que ce baiser nous sépare. Je regardai Tad, tout en attendant sa réponse. Puis il me dit qu'il ne savait pas pourquoi il m’avait embrassé et qu'il n’aurait pas dû le faire. Et qu'il avait peur de ma réaction. À ce moment-là, je fus un peu déçu par sa réponse. Je soupirai, par la suite je but une autre gorger de jus d'orange. Et je finis par lui dire tout en le regardant dans les yeux.

Tu sais très bien que je t'adore plus que tout Tad. Bien sur que ce baiser m'a surpris, mais je me suis sentie tellement stupide quand tu ma laisser en plan.

Ne voulant pas gâcher notre amitié. Je décidai de passer à autres choses. Il l'a dit lui-même qu'il n’aurait pas dû m'embrasser. Une erreur de sa part sûrement. Je détournai mon regard, puis je lui dis.

Sinon, tu as quoi de beau à raconter depuis ses deux semaines ?

Pour une fois l'appartement de Tad avait était ranger et le ménage avait était fait. Je dois avouer que cela faisait du bien aux yeux. Je ne dit pas que Tad est quelqu'un de sales, juste un peu bordélique. Et puis je l'admet je suis énormément maniaque sur les bord. Enfin pour en revenir au sujet principale qui aller vite prendre un terme. Tad me dit que je n’avais pas a me sentir stupide, car c'était lui qui m’avait embrasser. Enfin ce baiser, je ne l’avais pas repousser bien au contraire. Mais çà je ne l’avais pas vraiment admis. Puis il me dit par la suite que c'était de sa faute, et qu'il était partie pratiquement en courant. Je lui souri car je ne pouvais pas lui faire la tête, même si son comportement m'avais blesser. Puis je lui dit par la suite.

Enfin, oublions cela. Tu c'est tu m'as manquer durant ses deux semaines.

Je ne sais pas si j’avais bien faire d’écourter cette conversation. Mais je voyais bien que Tad ne voulais pas s'y attarder. Et pis je ne voulais pas me fâcher avec lui. J'avais du tenir deux semaines sans le voir. Et je ne voulais pas que cela dur plus longtemps. Puis il répondit à ma question quand je lui avait demander ce qu'il avait fait durant ses deux semaines. Visiblement, il n'ait pas fait grand chose, comme moi a vrai dire. Je lui sourit tout en répondant a sa question.

Et bien pareille, je me suis consacrer uniquement a mes cours et au travaille. Je ne suis même pas sortie un soir.

Puis j’observai Tad et sa maladresse. Il étendait ses jambes sous la table basse et manqua de renverser les verre de jus d'orange. Je pu m’empêcher de rigoler tout en lui disant.

Et bien a ce que je vois tu es toujours autant maladroit.